Deborah Farnault
Deeply connected to the natural world and to a sustainable way of living, Déborah develops a naturalistic, tactile, and humanistic form of writing.
At the confluence of art and advertising imagery, she seeks to shape contemporary myths. She gives her images solid foundations and strives to find the right distance from her subject.
She loves working with daylight above all else. In the studio, she reconstructs that sunlit quality that fascinates her.
Her exploration of negative space is expressed through a sensitive treatment of shadows. Through delicate chromatic ranges and refined images, Déborah creates an intimate narrative universe with a dreamlike dimension.
Conducive to contemplation, her images invite us to question our relationship with the world and to become the protagonists of an existential quest.
Her precise gaze reinvests the field of the imaginary, capturing the emotional nuances of human experience and the essence of life.
“Everything will be okay in the end. And if it’s not okay, it’s not the end.” John Lennon
Profondément attachée au monde naturel et à un art de vivre durable, Déborah développe une écriture naturaliste, tactile et humaniste.
À la confluence de l’art et de l’image publicitaire, elle veut façonner les mythes contemporains. Elle dote ses images de fondations solides et s’attache à trouver la juste distance avec son sujet.
Elle aime travailler en lumière du jour par-dessus tout. En studio, elle reconstruit cette lumière solaire qui la fascine.
Son exploration des espaces négatifs se traduit par un traitement sensible des ombres. À travers des gammes chromatiques délicates et des images épurées, Déborah crée un univers narratif intime à la dimension onirique.
Propices à la contemplation, ses images nous invitent à questionner notre rapport au monde et à devenir les protagonistes d’une quête existentielle.
Son regard précis réinvestit le champ de l’imaginaire. Il retranscrit les nuances émotionnelles de l’expérience humaine et du sel de la vie.
« La maturité de l’homme est d’avoir retrouvé le sérieux qu’on avait au jeu quand on était enfant. » La Horde du Contrevent, Alain Damasio

















